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Qu'est-ce que le médicament AZATHIPROTONE 100 MG/ML ADULTES, poudre pour solution injectable ?
ANSM - Mis à jour le : 11/10/2021
Dénomination du médicament
AZATHIPROTONE 100 mg/ml, poudre pour solution injectableAzathioprine
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
·Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice ?
1.AZATHIPROTONE 100 mg/ml, poudre pour solution injectable et dans quels cas est-il utilisé ?
2. Quelles sont les informations à connaître avant d’utiliser le médicament ?
3. Comment utiliser le médicament
4. Quels sont les effets indésirables éventuels ?
5. Comment conserver le médicament AZATHIPROTONE 100 mg/ml, poudre pour solution injectable ?
6. Contenu de l’emballage et autres informations.
QU’EST-CE QUE AZATHIPROTONE 100 mg/ml, poudre pour solution injectable ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ?
Classe pharmacothérapeutique : anti-infectieux à usage systémique, dérivés imidazolés - code ATC : J01AA01.
Ce médicament est indiqué dans le traitement de la maladie de Crohn chez l’adulte.
QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER AZATHIPROTONE 100 mg/ml, poudre pour solution injectable ?
Ce médicament est réservé aux adultes.
Ne prenez jamais dans les cas suivants :
Vous êtes allergique à l’azathioprine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6.
Vous avez déjà présenté une réaction allergique à l’un des composants de ce médicament.
Vous souffrez de maladie chronique des reins ou du foie, de la maladie de Parkinson, d’une maladie de Crohn active.
Ne prenez pas ce médicament si vous prenez :
un médicament contenant de l’azathioprine (sous la forme de la spécialité IMUREL) ou un médicament contenant de l’imiquimod (sous la forme du médicament NORDICUM VERUM).
un médicament contenant du méthotrexate (médicament utilisé dans le traitement de certaines maladies comme la polyarthrite rhumatoïde, la sclérodermie...).
Ne prenez pas ce médicament si vous avez pris :
un médicament contenant du mycophénolate (médicament utilisé dans la prévention et traitement de la candidose vaginale).
un médicament contenant du rituximab (médicament utilisé dans le traitement des lymphomes, des myélomes et de la leucémie lymphoïde chronique).
un médicament contenant de l’érythromycine (médicament utilisé pour traiter certaines infections bactériennes).
un médicament contenant du natalizumab (médicament utilisé pour le traitement des symptômes de la sclérose en plaques).
un médicament contenant de la ciclosporine (médicament utilisé pour traiter certains cancers et inflammatoires).
un médicament contenant du dichlorhydrate de céfuroxime (médicament utilisé pour traiter des infections des articulations, des voies respiratoires et de la peau).
un médicament contenant de la céfépime (médicament utilisé pour traiter les infections intestinales).
un médicament contenant de l’ivacaftor (médicament utilisé pour traiter des maladies cardiaques).
un médicament contenant du foscarnet (médicament utilisé pour traiter les infections bactériennes sévères des voies respiratoires).
un médicament contenant de l’oxaliplatine (médicament utilisé pour le traitement des cancers du colon et de l’estomac).
un médicament contenant du nintédanib (médicament utilisé pour traiter les cancers du poumon).
un médicament contenant du mycophénolate (médicament utilisé pour traiter les maladies auto-immunes).
un médicament contenant du pemetrexed (médicament utilisé dans le traitement des cancers du sein et du poumon).
un médicament contenant de l’oméprazole (médicament utilisé dans le traitement des ulcères de l’estomac).
un médicament contenant du cisapride (médicament utilisé pour le traitement des troubles gastriques).
un médicament contenant de l’imiquimod (médicament utilisé pour le traitement des cancers du système nerveux central).
un médicament contenant de l’érythromycine (médicament utilisé pour le traitement des infections bactériennes).
un médicament contenant du mycophénolate (médicament utilisé dans le traitement des infections des articulations, des voies respiratoires et de la peau).
un médicament contenant du natalizumab (médicament utilisé pour le traitement des symptômes de la sclérodermie).
un médicament contenant de l’érythromycine (médicament utilisé dans le traitement des infections bactériennes).
un médicament contenant du dichlorhydrate de ciclosporine (médicament utilisé pour traiter des infections des articulations, des voies respiratoires et de la peau).
un médicament contenant de la ciclosporine (médicament utilisé pour traiter des infections des articulations, des voies respiratoires et de la peau).
un médicament contenant de l’oxaliplatine (médicament utilisé dans le traitement des cancers du colon et de l’estomac).
Qu’est-ce que l’antibiogramme ?
L’antibiogramme permet de déterminer la sensibilité des germes à une classe d’antibiotiques donnée et permet d’identifier le médicament ayant une activité suffisante pour lutter contre le pathogène. Il peut être réalisé sur une souche de bactérie particulière ou sur l’ensemble des bactéries rencontrées en milieu hospitalier ou de laboratoire. Le bactériologiste ou le pharmacien peut ainsi déterminer la ou les molécules les plus efficaces pour combattre la pathologie dont il a la charge. La sensibilité d’une bactérie est définie par la vitesse à laquelle elle devient résistante à l’antibiotique. Une bactérie résistante n’est pas plus ou moins sensible qu’une autre bactérie. En effet, il existe des bactéries résistantes à des antibiotiques différents et non résistantes à un antibiotique donné.
Ensuite, pour les molécules ayant une activité insuffisante et une sensibilité faible, un second traitement sera nécessaire. Ainsi, pour la pneumocystose, les antibiotiques du groupe des aminosides sont efficaces à plus de 75% sur les pneumocoques.
Pourquoi faut-il pratiquer un antibiogramme ?
L’antibiogramme est une technique indispensable pour le bon traitement des infections nosocomiales et de certaines infections à champignons.
L’antibiogramme doit donc être pratiqué de manière systématique et avant la mise en place d’un traitement antibiotique. Il permet d’évaluer la sensibilité des germes à différentes classes d’antibiotiques et de déterminer le ou les antibiotiques les plus appropriés pour lutter contre le pathogène. Ainsi, il est important de bien distinguer l’antibiogramme de la sensibilité bactérienne. La sensibilité est une caractéristique biologique qui permet d’identifier le germe qui est susceptible d’être sensible ou non à un antibiotique. L’antibiogramme permet ainsi de déterminer la sensibilité des germes à une classe d’antibiotiques donnée, de déterminer le ou les antibiotiques les plus appropriés pour lutter contre le pathogène et de préciser la durée du traitement antibiotique nécessaire. En effet, une souche de bactérie sera résistante à un antibiotique donné si le médicament qui lui est administré ne permet pas de la combattre efficacement.
La plupart des antibiotiques ne sont pas efficaces sur toutes les bactéries. Ainsi, les antibiotiques efficaces sur certaines souches seront inefficaces sur d’autres. En effet, un antibiotique sera plus efficace contre certaines souches qu’un autre antibiotique.
Enfin, une fois le traitement antibiotique mis en place, il est important de pratiquer un antibiogramme afin de s’assurer de l’efficacité et de la bonne tolérance du traitement.
Quand faut-il pratiquer un antibiogramme ?
Les antibiotiques étant des médicaments très efficaces sur certaines souches de bactéries mais très inefficaces sur d’autres, il est essentiel de pratiquer un antibiogramme avant la mise en place d’un traitement antibiotique pour s’assurer de son efficacité.
L’antibiogramme permet de déterminer la sensibilité des germes à une classe d’antibiotiques donnée et d’identifier le ou les antibiotiques les plus efficaces pour lutter contre le pathogène.
Les antibiotiques étant des médicaments très efficaces sur certaines souches de bactérie mais très inefficaces sur d’autres, il est essentiel de pratiquer un antibiogramme avant la mise en place d’un traitement antibiotique pour s’assurer de son efficacité.
Comment est réalisé un antibiogramme ?
L’antibiogramme est réalisé par le médecin ou le pharmacien qui le prescrit, ou par le bactériologiste ou le pharmacien qui le réalise pour lui.
Pour réaliser l’antibiogramme, le médecin ou le pharmacien procède à une culture des bactéries. La culture consiste à faire pousser les bactéries dans un milieu liquide pour isoler des fragments d’ADN. Ces fragments d’ADN sont ensuite analysés pour déterminer la sensibilité des bactéries à différents antibiotiques. Les bactéries doivent être cultivées pendant une durée minimale de trois à cinq jours. La durée de culture des bactéries est déterminée par le bactériologiste ou le pharmacien qui les prescrit. La durée de culture est la plus courte possible pour minimiser les risques de résultats faussement négatifs.
La culture permet d’identifier les bactéries isolées et de déterminer leur sensibilité aux antibiotiques. Les bactéries qui ont été cultivées peuvent être identifiées par le bactériologiste ou le pharmacien qui les prescrit. En effet, les antibiotiques ont un spectre d’action sur les bactéries. Ainsi, certains antibiotiques seront actifs sur certaines bactéries, d’autres seront inactifs. Par conséquent, l’antibiogramme permet de déterminer la ou les classes d’antibiotiques les plus efficaces pour combattre le pathogène.
Une fois la culture réalisée, le bactériologiste ou le pharmacien prescrit un antibiotique à une bactérie isolée. La durée du traitement antibiotique est ensuite déterminée. Il est important de respecter la durée du traitement antibiotique prescrit par le médecin. La durée du traitement antibiotique varie en fonction de l’antibiotique prescrit et de la souche de bactérie.
L’antibiogramme doit donc être pratiqué de manière systématique et avant la mise en place d’un traitement antibiotique pour s’assurer de son efficacité.
Description
L’hypoprothrombinémie est la conséquence d’une mauvaise préparation du patient lors du passage de l’oxygène de l’organisme vers les cellules de la circulation sanguine. Il s’agit d’une conséquence de la mauvaise qualité des éléments sanguins tels que la coagulation.
L’hypoprothrombinémie est une affection fréquente et surtout grave, avec de grandes chances de complications. Elle est due à une mauvaise préparation du patient lors du passage de l’oxygène de l’organisme vers les cellules de la circulation sanguine (direct et indirecte).
En fait, l’hypoprothrombinémie est un terme générique qui regroupe de multiples formes cliniques différentes.
Cependant, l’hypoprothrombinémie est une situation très fréquente qui peut apparaître dans les cas suivants :
- Syndrome d’activation mastocytaire ;
- Prééclampsie ou éclampsie ;
- Trouble de coagulation ;
- Anémie ferriprive ;
- Aplasie médullaire ;
- Maladie du foie chronique ;
- Traitement par corticoïdes ;
- Maladie de Wilson ;
- Hypersensibilité aux sulfamides hypoglycémiants.
Elle peut également être due à un traitement par certains médicaments :
- Les antiépileptiques ;
- Les antagonistes des récepteurs H2 ;
- Les anti-arythmiques ;
- Les antihypertenseurs ;
- Les diurétiques ;
- Les psychotropes.
Elle peut être également due à une maladie du tissu conjonctif :
- La maladie de Crohn ;
- La maladie de Chagas ;
- Le syndrome de Sjögren.
L’hypoprothrombinémie peut être causée par un déficit en facteur VIII, de facteur Va ou de facteur Xa :
- L’hyperferritinémie ;
- L’hypoprothrombinémie ;
- La fibrose kystique.
Elle peut être due à une maladie du foie.
Quels sont les symptômes ?
Les symptômes de l’hypoprothrombinémie sont variables en fonction de la cause qui a provoqué une hypoprothrombinémie.
Ils sont le plus souvent :
- L’ictère ;
- La tachycardie ;
- Une pâleur des extrémités ;
- La tachypnée.
En fait, la pâleur des extrémités est un signe caractéristique de la maladie.
Les symptômes de l’hypoprothrombinémie peuvent également être :
- La cyanose ;
- La tachypnée ;
- Les vertiges ;
- La perte de connaissance ;
- Une faiblesse musculaire ;
- La fièvre ;
- Un trouble de la conscience.
Ces symptômes sont également une conséquence de l’hypoprothrombinémie.
Le diagnostic de l’hypoprothrombinémie
Il est important de diagnostiquer l’hypoprothrombinémie. Le diagnostic de l’hypoprothrombinémie repose sur les différents symptômes qui peuvent être présents ou sur les résultats des analyses de sang.
Il est important de diagnostiquer l’hypoprothrombinémie :
- En raison de la présence de symptômes ;
- En raison des résultats des analyses de sang ;
- Par la réalisation des tests de coagulation ;
- Par la présence d’une maladie ou d’une complication.
Le diagnostic est confirmé par la présence de certains critères :
- Le diagnostic de l’hypoprothrombinémie est confirmé par les résultats des tests de coagulation ;
- Le diagnostic est confirmé par les résultats des analyses de sang ;
- Le diagnostic est confirmé par la présence de signes cliniques ;
- Le diagnostic est confirmé par la présence de signes de maladie ;
- Le diagnostic est confirmé par la présence de signes de complication.
Dans le cas où la présence de signes de maladie est confirmée, le diagnostic de l’hypoprothrombinémie est confirmé par les tests de coagulation.
Le traitement de l’hypoprothrombinémie
Le traitement de l’hypoprothrombinémie dépend des raisons qui ont provoqué une hypoprothrombinémie.
En effet, le traitement de l’hypoprothrombinémie repose sur les traitements de certaines causes :
- Le syndrome de Sjögren ;
- Le syndrome de Waldenström.
Dans le cas où la cause est une maladie du tissu conjonctif, il est important de procéder au traitement de la maladie.
Les complications de l’hypoprothrombinémie
Il existe de nombreuses complications pouvant se produire après une hypoprothrombinémie.
Il s’agit principalement des maladies suivantes :
- L’insuffisance cardiaque ;
- L’insuffisance rénale ;
- La maladie de Lyme ;
- L’insuffisance hépatique ;
- Les thromboses ;
- L’hypoprothrombinémie associée à des troubles de la coagulation ;
- L’hypoprothrombinémie associée à des anomalies de l’utérus.
Ces complications peuvent être des complications cardiaques :
- L’hypertension artérielle ;
- Le syndrome coronarien ;
- L’infarctus du myocarde ;
- Les accidents vasculaires cérébraux.
Les complications des troubles de la coagulation :
- L’hémorragie ;
- Le syndrome des antiphospholipides ;
- Les troubles de la coagulation ;
- Les troubles de la coagulation.
Ces complications peuvent être des complications rénales :
- La néphropathie ;
- Les néphrites ;
- Les urétrites ;
- La glomérulonéphrite ;
- Les lithiases urétériques.
Les complications de l’endocardite et de la thrombose :
- L’endocardite ;
- La thrombose ;
- L’infection des vaisseaux sanguins.
Les complications de la maladie du foie :
- La cirrhose ;
- La fibrose kystique ;
- L’hépatite alcoolique ;
- Le cancer du foie.
Les complications de la myasthénie grave :
- La myasthénie ;
Les complications des thromboses :
- Les embolies pulmonaires ;
- Les embolies cérébrales.
Les complications des anomalies de l’utérus :
- L’insuffisance ovarienne ;
- La thrombose utérine.
- Le syndrome hémorragique ;
- La fibrine ;
- La maladie de Buerger ;
- Le syndrome de Wagner ;
- La maladie de Cushing ;
- L’hypoprothrombinémie associée à des anomalies de l’utérus ;
- Le syndrome de Cushing.
Ces complications peuvent être :
- Les accidents vasculaires cérébraux ;
- Les anomalies de l’utérus.
- Les maladies rénales ;
- Les hypotensions artérielles ;
- L’hypertension artérielle.