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Pharmacie des Bordes, à La Queue-en-Brie

Générique nexium du

Comment ce médicament agit-il ? Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

La varicelle est une infection causée par le virus varicelle-zona. Ce virus est présent dans votre système nerveux pendant la grossesse ou si vous avez été vacciné contre la varicelle.

Vous pourriez être vacciné contre la varicelle dans le cadre d’un programme de vaccination contre la varicelle si :

· vous êtes âgé(e) de 12 mois à 17 ans, si vous n’êtes pas encore vacciné(e) contre la varicelle ou si vous n’êtes pas certain(e) d’être vacciné(e) contre la varicelle avant que vous n’ayez la varicelle ;

· vous avez déjà eu la varicelle sans avoir reçu le vaccin (varicelle-zone);

· vous avez déjà eu une réaction allergique grave à la varicelle (varicelle-like réaction) ou à une injection de vaccin contre la varicelle.

La varicelle est causée par le virus varicelle-zone (VZV). Le VZV peut se trouver dans votre système nerveux pendant la grossesse ou si vous avez été vacciné(e) contre la varicelle.

Si vous recevez une dose du vaccin contre la varicelle dans le cadre de la vaccination, votre système immunitaire réagira à la varicelle en détruisant les cellules infectées par le VZV. Par conséquent, vous ne risquez pas d’avoir une varicelle-like réaction.

Voici d’autres conditions qui peuvent être causées par la varicelle :

· des infections ou des infections graves au VZV, comme la varicelle-like réaction.

la varicelle-like réaction peut causer des symptômes semblables à ceux de la varicelle : maux de tête, malaise généralisé, fièvre, perte de poids, nausées et vomissements, éruptions cutanées et gonflement des ganglions lymphatiques.

une maladie de la peau ou des yeux appelée pemphigus vulgaris ou pemphigoïde bulleuse (voir Qu’est-ce que la varicelle?).

des problèmes de foie ou des anomalies du foie causées par des lésions des cellules hépatiques.

Certaines personnes qui ont déjà eu la varicelle ne risquent pas d’être infectées par le VZV si elles reçoivent le vaccin (varicelle-zone). Les personnes qui ont déjà eu la varicelle et qui reçoivent le vaccin peuvent ne pas avoir besoin de la varicelle.

Si vous avez déjà eu la varicelle et que vous avez reçu le vaccin (varicelle-zone), vous pourriez être à risque de contracter une varicelle-like réaction si vous recevez une dose du vaccin contre la varicelle dans le cadre de la vaccination.

Si vous avez reçu une dose du vaccin (varicelle-zone) et que vous développez des symptômes semblables à ceux de la varicelle, communiquez immédiatement avec votre fournisseur de soins de santé.

Veillez à ce que les personnes qui vous soignent comprennent comment vous allez réagir au vaccin (varicelle-zone). Elles pourront vous aider à déterminer si vous avez été exposé(e) au virus (varicelle-zone) et vous indiqueront les mesures que vous devez prendre.

si vous êtes enceinte, si vous avez l’intention d’être enceinte ou si vous allaitez.

si vous avez reçu une dose du vaccin (varicelle-zone) et que vous avez des symptômes de la varicelle-like réaction après la vaccination, communiquez immédiatement avec votre fournisseur de soins de santé.

si vous prenez des anticoagulants (par ex. la warfarine).

si vous prenez des anticoagulants pour traiter la thrombose (formation de caillots de sang) ou l’embolie pulmonaire.

si vous prenez des anti-inflammatoires non stéroïdiens ou des AINS, comme l’aspirine ou l’ibuprofène, car ils pourraient réduire l’efficacité du vaccin.

si vous êtes traité(e) pour un lupus érythémateux disséminé (LED) ou une autre maladie auto-immune (par ex. l’arthrite psoriasique, la polyarthrite rhumatoïde).

si vous êtes traité(e) pour la maladie de Behçet ou d’autres maladies chroniques du foie (infections chroniques de la muqueuse du foie).

si vous avez un trouble de la coagulation ou si vous avez eu récemment un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque.

si vous avez eu récemment un trouble de la coagulation ou si vous avez eu récemment un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque.

si vous avez des problèmes de coagulation sanguine.

Si vous êtes dans l’une de ces situations, discutez avec votre fournisseur de soins de santé avant de recevoir le vaccin.

Parlez à votre fournisseur de soins de santé si vous avez des symptômes de la varicelle-like réaction après avoir reçu le vaccin.

la varicelle-like réaction peut causer des problèmes de foie ou des anomalies du foie causées par des lésions des cellules hépatiques. Parlez à votre fournisseur de soins de santé si vous avez des symptômes de la varicelle-like réaction après avoir reçu le vaccin (varicelle-zone).

une maladie de la peau ou des yeux appelée pemphigus vulgaris ou pemphigoïde bulleuse.

La varicelle est une infection causée par le virus varicelle-zona (VZV).

Si vous recevez une dose du vaccin (varicelle-zone) et que vous développez des symptômes semblables à ceux de la varicelle, communiquez immédiatement avec votre fournisseur de soins de santé. Ils pourront vous aider à déterminer si vous avez été exposé(e) au virus (varicelle-zone) et vous indiqueront les mesures que vous devez prendre.

Information patient approuvée par Swissmedic

NEXIUM® 20 mg comprimés

Opsumit S.p.a

Avis du patient

Le patient

J’ai pris ce médicament il y a environ 5 semaines. J’ai eu une petite allergie à la gélule. Je ne ressens plus aucun symptôme. Je ne sais pas ce que j’ai pris. C’est pour ça que je voulais savoir si c’était possible qu’il y avait d’autres médicaments qui m’auraient été donné ou est-ce que c’était déjà pris ?

La suite après cette publicité

Le traitement du syndrome coronarien aigu (SCA) fait partie des traitements les plus controversés. De nombreuses études ont montré qu’une prise d’antiplaquettaires tels que le clopidogrel, le prasugrel ou le ticagrelor diminue le risque de récidive d’infarctus du myocarde, de mortalité cardiovasculaire ou d’hospitalisation pour un SCA en rapport avec le SAOS. Dans cette même étude, ces traitements ont été associés à un risque majoré d’infarctus du myocarde (IDM), de mortalité cardiovasculaire et d’hospitalisation pour un SAOS.

Il existe également des traitements antiagrégants plaquettaires ayant un potentiel antithrombotique et antiangoreux : la warfarine (Coumadine®), l’acénocoumarol (Flunarizine®) ou le ranolazine (Atacand®). Ils présentent des risques majorés de thromboses veineuses (phlébites et embolies pulmonaires), d’IDM et de mortalité cardiovasculaire.

Avis du professionnel

En réponse à cette demande, le comité des médicaments à usage humain de Swissmedic a mené une étude comparative des effets du clopidogrel, du prasugrel et du ticagrelor chez des patients atteints d’ischémie coronarienne aiguë (ACI). L’étude a montré que le clopidogrel est le meilleur candidat pour le traitement de l’AIC. Le ticagrelor a montré une efficacité modeste et un effet indésirable gastro-intestinal, alors que le prasugrel a montré une efficacité très légèrement supérieure. Il a donc été décidé de n’octroyer aucune autorisation de mise sur le marché pour ces médicaments dans ce domaine de traitement.

En revanche, le comité a examiné les données sur la warfarine et les médicaments antiangoreux. Dans le cadre du dépistage du cancer du sein, des patients ont été traités avec des anticoagulants oraux, des inhibiteurs de la GPIIb/IIIa ou des inhibiteurs de la vitamine K dépendants de la glycoprotéine IIb/IIIa. L’effet anticoagulant de ces médicaments a été évalué par un test de laboratoire, la protéine C activée (PcA). L’examen a montré que ces médicaments sont efficaces pour prévenir la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins. Les auteurs ont conclu qu’il n’y avait pas de raison de déconseiller ces médicaments en cas de prévention secondaire de l’AIC.

En cas de douleur thoracique d’origine cardiaque, il est recommandé de demander l’avis d’un médecin avant de prendre un médicament à base de métoprolol (Lopressor®) ou d’hydrochlorothiazide (Emtricitabine/Ténofovir disoproxil Zentiva®). Pour traiter une angine de poitrine, un médecin peut conseiller le clopidogrel (Ticagrélor®) ou le prasugrel (Plavix®) en fonction des caractéristiques de l’angine de poitrine et des facteurs de risque cardiovasculaires.

Questions fréquentes (FAQ)

FAQ - Le traitement médicamenteux de l'AVC et de l'infarctus du myocarde

Faut-il consulter rapidement après un infarctus du myocarde ?

Le traitement symptomatique d'un infarctus du myocarde aigu est rapide. Il comprend l’administration de bêtabloquants et d’inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) ou de nitrates et de vasodilatateurs (voir infra). Un traitement plus spécifique de la maladie coronarienne est nécessaire après un infarctus du myocarde. Celui-ci comprend la coronarographie et l'administration d'un médicament antiangineux après 4 heures après le traitement initial. Le traitement de l'AVC est plus tardif. Il est indiqué lorsque la durée de la phase aiguë ne peut être contrôlée par les médicaments antithrombotiques et antiagrégants plaquettaires et que des traitements spécifiques sont nécessaires.

Faut-il prendre un médicament antiangorique ou antiagrégant plaquettaire après un infarctus du myocarde ?

L'arrêt des anticoagulants est déconseillé pendant plusieurs semaines après l'infarctus du myocarde. En cas d'instabilité hémodynamique sévère après un infarctus du myocarde, il est recommandé de prescrire de façon temporaire un anticoagulant oral pendant plusieurs jours. Les IPP doivent être arrêtés avant toute intervention chirurgicale programmée et en cas d'infarctus du myocarde.

Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) comme l'oméprazole (Losartan Potassique Zentiva®) sont efficaces contre les symptômes post-infarctus. Ces médicaments sont contre-indiqués chez les patients qui ont un antécédent de maladie coronaire car ils peuvent augmenter le risque de complications.

Pour un traitement anticoagulant, l'antécédent d'hémorragie est également contre-indiqué.

L'anticoagulant oral le plus efficace pour le traitement de l'AVC est l'apixaban (Eliquis®), un anticoagulant direct. L'apixaban a une demi-vie d'élimination plasmatique prolongée, ce qui limite les risques d'interactions médicamenteuses et permet une prise quotidienne sans modification de la posologie (voir infra). Il est disponible en comprimés à 5 mg ou à 1,5 mg.

Les anticoagulants oraux directs sont contre-indiqués chez les patients ayant un antécédent d'hémorragie ou ayant une insuffisance rénale.

Les patients présentant un antécédent d'hémorragie ou ayant une insuffisance rénale ne doivent pas recevoir d'anticoagulants oraux directs.

Les IEC sont contre-indiqués chez les patients ayant un antécédent d'hémorragie ou ayant une insuffisance rénale (voir infra). Les IEC ne doivent pas être prescrits en association avec des anticoagulants oraux directs.

Pour un traitement anticoagulant chez des patients avec insuffisance rénale, un traitement par les AVK doit être mis en place (voir infra).

Les antiarythmiques de classe IA ou III ne sont pas recommandés en traitement symptomatique de l'AVC.

Les antiarythmiques de classe IA et III ne sont pas recommandés en traitement symptomatique de l'AVC.

Les patients sous inhibiteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa doivent être surveillés pendant le traitement par les inhibiteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa (voir infra).

Les IEC sont contre-indiqués en association avec les anticoagulants oraux directs.

Les patients sous inhibiteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa doivent être surveillés pendant le traitement par les inhibiteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa.

La dose d'anticoagulant oral la plus efficace pour le traitement de l'AVC est la dose la plus faible. Le rapport bénéfice/risque doit être évalué en fonction du risque de saignement (voir infra).

Les anticoagulants oraux sont efficaces et sûrs pour le traitement de l'AVC.

Vaccins antiviraux à virus A(H1N1) pdm09

Description

Ce document présente la description et le résumé de l'étude ainsi que d'autres informations.

Le présent document est le résumé des commentaires écrits par les auteurs de l'étude.

Cet avis est le résultat de la synthèse des données contenues dans les commentaires écrits par les auteurs de l'étude.

Les auteurs ont rédigé cet avis en collaboration avec les représentants de Santé Canada et de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Il a été rédigé par des experts canadiens en matière de vaccins, qui n'ont pas participé à l'élaboration ni à l'évaluation de cette déclaration.

L'avis est basé sur les données disponibles au moment de la publication. Les renseignements présentés dans l'avis peuvent changer ultérieurement sans préavis. Pour obtenir de l'information sur le contenu et les exigences des études cliniques, veuillez consulter le document de recherche ou consulter le site Web du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS).

Résumé

Cette étude a été réalisée dans le cadre d'un projet de recherche visant à évaluer la sécurité et l'efficacité du vaccin antigrippal quadrivalent inactivé (AIH3N2) dans le contexte d'une pandémie d'influenza. L'AIH3N2 a été produit dans le cadre d'une étude de phase III multicentrique randomisée en groupes parallèles (études A02942, A02943 et A02944). Les deux études ont été menées par le biais d'une collaboration de recherche en soins de santé entre les trois organismes subventionnaires suivants : la Fondation canadienne pour l'innovation, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). La Fondation canadienne pour l'innovation (FCI) a fourni des fonds pour la conception, la collecte de données, la production et la diffusion des données de cette étude. Les trois organismes subventionnaires ont fourni des fonds pour le développement et la production de vaccins et pour l'administration du vaccin antigrippal. Santé Canada et l'OMS ont fourni des fonds pour la coordination et la surveillance de la gestion des vaccins antigrippaux. Le financement a été fourni par le MSSS.

Avant-propos

La grippe est une infection virale respiratoire saisonnière et contagieuse qui se propage rapidement et affecte des millions de personnes dans le monde. Les infections à virus grippaux sont des infections respiratoires causées par des virus de la grippe (une espèce du genre influenza), tandis que les virus de la grippe A et B sont responsables de la majorité des infections à virus grippaux causées par des infections respiratoires saisonnières chez les humains. En 2009, la pandémie de grippe A(H1N1) a provoqué une grave épidémie de grippe dans la province de Québec, au Canada. De nombreuses personnes ont perdu la vie en raison de la maladie et des complications qui en ont résulté, notamment de graves complications cardiaques et respiratoires.

En avril 2010, le Ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) du Québec a lancé un appel de candidatures pour la réalisation d'un programme national de vaccination. Cette initiative a été appuyée par le Fonds d'innovation de l'Association canadienne des sciences de la santé (ACSS), un programme de subventions de recherche financé par les sociétés médicales canadiennes qui a pour mandat d'investir dans l'avancement de la recherche en santé au Canada. L'objectif principal de ce programme est de développer des programmes de vaccination contre la grippe pour la prévention et le contrôle de la grippe pandémique dans l'ensemble du Canada. Le programme de vaccination contre la grippe est un programme national. Il vise à fournir des vaccins contre la grippe pour prévenir la grippe pandémique dans le contexte d'une pandémie mondiale.

Le présent document résume la méthodologie de l'étude et donne un aperçu des résultats et des conclusions de l'étude. Les résultats et les conclusions sont fondés sur les données de l'étude, qui ne peuvent être communiquées que par les auteurs de l'étude.

Étude

L'étude consiste en une étude de phase III multicentrique randomisée en groupes parallèles (études A02942, A02943 et A02944) réalisée au Canada par le biais d'une collaboration entre les trois organismes subventionnaires suivants : la Fondation canadienne pour l'innovation, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Les données de l'étude ont été recueillies à partir du 1er avril 2011 au 1er avril 2013, et les données ont été recueillies au moyen d'un formulaire de déclaration en ligne (application mobile pour appareils iOS et Android). Les chercheurs n'ont pas demandé aux participants de fournir leur nom, leur adresse résidentielle ou leurs informations de paiement pour la participation à l'étude. La participation à cette étude était volontaire et non rémunérée.

Études de phase III

Les études de phase III sont des études de phase III ou des études de phase II menées en groupes d'individus ou de populations spécifiques, qui permettent de recueillir des données cliniques et des résultats d'efficacité concernant un nouveau médicament, un nouveau vaccin ou un nouveau mode d'administration. Elles ont pour but de déterminer si un médicament, un vaccin ou un nouveau mode d'administration est efficace pour un groupe d'individus ou de populations, et pour évaluer si le médicament ou le vaccin est sécuritaire pour ce groupe d'individus ou de populations. La méthode de conduite de l'étude de phase III est fondée sur un plan directeur élaboré conjointement par les organismes subventionnaires et la FCI. Le plan directeur décrit la méthode à utiliser pour collecter des données et des renseignements sur l'efficacité et la sécurité, ainsi que les processus administratifs et les ressources pour mener à bien l'étude. Il définit les critères de sélection, les méthodes de collecte des données, les normes de présentation, la méthodologie de la vérification des données, la méthodologie de l'évaluation des données, la surveillance de la qualité des données et les exigences en matière de présentation des rapports aux organismes subventionnaires et à Santé Canada.

L'étude de phase III consiste en une étude dans laquelle 489 participants sont inscrits dans l'étude, dont les données sur la santé sont recueillies par le biais d'un formulaire de déclaration en ligne (application mobile pour appareils iOS et Android). Les résultats de l'étude sont communiqués au promoteur et à Santé Canada au moyen d'un rapport sur les résultats de l'étude. Les données recueillies dans le cadre de l'étude peuvent être communiquées à d'autres organismes subventionnaires ou à d'autres organismes publics à des fins de recherche et de publication. Les données recueillies dans le cadre d'une étude de phase III peuvent également être communiquées à des fins de recherche et de publication.

L'étude est divisée en trois phases distinctes. La phase I comprend la collecte des données sur la santé, la collecte des données sur les résultats d'efficacité et de sécurité et la création du plan directeur pour la collecte des données sur la santé. La phase II comprend la collecte des données sur les résultats d'efficacité et la sécurité. La phase III comprend la collecte des données sur les résultats d'efficacité et la sécurité.

Résumé des résultats

Dans le cadre de la phase III de l'étude, 2 803 personnes de 12 à 75 ans au Canada ont été inscrites à l'étude et ont participé à la phase III du 1er avril 2011 au 1er avril 2013. La durée de la phase III est de 489 jours. Les résultats sur les paramètres d'innocuité et d'efficacité de la phase III ont été résumés dans la présente publication.

Méthodologie

Le MSSS a approuvé une méthodologie de collecte de données en ligne à l'aide d'une application mobile sur appareils iOS et Android, et les données ont été recueillies à partir d'un formulaire de déclaration en ligne et de données cliniques (rapports sur les effets indésirables et rapports sur la sécurité) fournis par le promoteur de l'étude. Les données cliniques ont été recueillies auprès des participants inscrits à l'étude sur la base de leur consentement éclairé volontaire et, pour la plupart, de leur consentement éclairé écrit. Le MSSS a approuvé les bases de données provinciales sur les maladies infectieuses et les maladies transmissibles (QIID) et le Système national d'information en santé publique (SNISP) de Statistique Canada. Le MSSS a également approuvé la méthode de collecte des données en ligne de Statistique Canada, qui consiste à collecter des données sur la santé, la sécurité et les médicaments et vaccins sur la base d'un formulaire de déclaration en ligne et des données cliniques sur la santé. La collecte des données a été réalisée de janvier à décembre 2011. Le MSSS a également autorisé le MSSS à recueillir les données sur la santé et les effets indésirables auprès des personnes qui ne participent pas à l'étude. Les données sur la santé ont été recueillies par les services de santé locaux de Statistique Canada. Les données sur les médicaments et les vaccins ont été recueillies auprès des fournisseurs de produits médicaux et de vaccins au moyen de l'Initiative canadienne de recherche sur l'abus de médicaments (ICRAM). Les données sur les médicaments et les vaccins ont été recueillies auprès des entreprises pharmaceutiques et des distributeurs de médicaments au moyen de la base de données provinciale des entreprises pharmaceutiques canadiennes et des entreprises de vaccins et de médicaments pour usage humain (PHCIV).